PLATEAU BOLAVENS

Publié par Alain in , , ,

... ou plateau des Bolovens (cela dépend des sources)



PAKSE

Tout d'abord, un mot sur PAKSE. (source wikipédia) 
La ville de Paksé a été fondée par les Français comme un avant-poste administratif en 1905. Elle était autrefois la capitale du Royaume de Champassak, aboli en 1946, lorsque le Royaume du Laos a été formé. Depuis la construction d'un pont sur le Mékong (avec l'aide japonaise), permettant la liaison routière avec Ubon Ratchathani en Thaïlande, Paksé est devenu le centre commercial du sud du Laos. 

La distance avec les villes du Nord est relativement importante (677 kms depuis Ventiane, soit environ 10 heures de voyage +/- par la route). Cela signifie qu'il faut: 


- Soit investir dans un billet d'avion (depuis Ventiane ou Luang Prabang) - choix du temps 
- Soit faire des sauts de puces intermédiaires pour ne pas se prendre trop de trajet long.

- Soit prendre un SLEEPER bus pour voyager de nuit. C'est finalement l'option  que j'ai choisi.
Pour une première expérience (dormir sur une couchette à deux – bonjour Monsieur, heureux de passer la nuit avec vous ! - dans un bus « dortoir », sur les routes cahotiques du LAOS... ça se teste, non !?), pour le gain de temps (finalement, cela ne « coûte » qu'une nuit, puisqu'il faut à peu près 10H de voyage entre Ventiane et Paksé). 
Le billet coûte environ 120 000 Kips.

Donc après quelques péripéties pour trouver le bon bus (récupérer mon sac à dos auprès du chauffeur de mon premier bus n'a pas été sans stress, je l'avoue) et une nuit quand même agitée, arriver à Paksé à 6H30 permet d'avoir le temps d'émerger et de rechercher (comme d'hab) le gite et le café (ou l'inverse, c'est mieux !). 

Un peu galère cette fois ; tout est plein, au niveau des GH que j'avais pré sélectionnées (pour une fois que je prépare mon arrivée!). Bref, je prends une chambre assez pas top pour 60 000 Kips sur l'artère principale, et pars faire un tour de la ville à pied.

Que faire / Que voir ?

Bon Paksé, il faut le dire, c'est pas LA ville à visiter. J'ai bien aimé le bord du Mékong, parce que c'est plein de bui bui où la jeunesse LAOS se retrouvent pour déjeuner / Diner ; et que la vue sur le Mékong est superbe, notamment au coucher de soleil, avec quelques montagnes au loin.

Sinon, il y a plein de choses à découvrir, mais à l'extérieur (je vais y venir en détail dans cet article et dans d'autres). 

Il y a bien sûr le plateau des Bolovens , mais aussi les villages aux éléphants à KIET NGONG et BAN PHAPHO, le VAT PHU à Champasak, les villages d'artisanat à BAN SAPHAI. 

Et on peut jouer au golf, au bowling, se faire masser. 

Donc pour ceux qui veulent passer du temps ici, PAKSE est une bonne base pour circuler dans la zone.

Je préconise de louer une moto (enfin un sccoter). Et chez Miss Noy. Parce que l'accueil est bon, que les prix aussi. Mais surtout parce qu'il y Yves – un belge -, qui fait un peu office de centre d'informations, et t'explique dans le détail tout ce qu'il faut faire aux alentours. 

Carte(s) personnalisée(s)  à l'appui, il récite « un peu » sa leçon ; mais comme il profite des retours des clients pour compléter au fur et à mesure les « à voir/à faire / où loger », suivre ses conseils permet de se faire une première ébauche des coins à voir.

Le plateau des Bolovens

Le deuxième jour, avec un petit sac allégé pour « vivre » 4 à 5 jours sur le plateau (circuler avec le gros sac est un peu trop compliqué pour visiter les cascades et autres sites! Donc un t-shirt, un pantalon, un short, une serviette, une brosse à dent, une trousse de toilette hyper light, un sac de couchage, un sweat, un k-way et ... c'est plein !), direction le plateau. 
En compagnie de Sébastien, français, rencontré la veille lors des explications de texte de Yves.

Pour information "culturelle" - Extraits de wikipédia pour ceux qui auraient la flemme - :
Le plateau des Bolovens est une région du sud du Laos, à environ 50 kilomètres à l'est de Paksé, troisième ville du pays. Elle est située en altitude et le climat y est un peu moins clément qu'en plaine (il y fait frais je vous le confirme.. je regrette la polaire laissée dans le bus en THAILANDE!). On y cultive un café très réputé, qu'on trouve partout au Laos (robusta et arabica), ainsi que du thé et du poivre. On y trouve des paysages somptueux et peu troublés par le tourisme occidental (les Thais et les Laos viennent s'y ressourcer) : chutes d'eau spectaculaires et forêts primaires.
Tout cela est à vérifier ! 

Donc en avant pour ce qu'on appelle ici la grande boucle du plateau (quelques conseils pratiques et détaillés sur le site de Nicolas, un ami de Yves), c'est à dire un itinéraire de 270 kms en scooter sur des routes, des pistes, voir plein d'autres surprises ...

1. Première étape: PAKSE - TAD LO (82 kms)


Le temps de reprende les marques avec ma nouvelle monture (vu le scoot pourri que j'avais eu à VANG VIENG, celui-ci est « au top »), faire le plein, et trouver la bonne direction (quand même, c'est pas compliqué : prendre l'artère principale et c'est tout droit!). 

Et nous voici de retour sur les longues routes cabossées (on s'y fait, c'est le LAOS).

Premier arrêt: TAD PASUAM
La chute d'eau (TAD en LAO) de PASUAM et son village éthnique.
Finalement, une vraie déception vis à vis de ce premier stop. Le site est bourré de touristes THAI, la cascade n'est pas terrible (bon je pense que l'on a peut être raté la principale). Cela ressemble plus à un parc d'attraction. 
Le principe est simple: un riche business man aveugle a décidé de créer un complexe autour de la cascade... ne me demandez pas comment il a pu savoir qu'elle est à voir, je ne l'ai pas rencontré ! Et en a profité pour rassembler quelques autochtones pour simuler la vie dans les villages locaux par ethnies. 
Rajouter quelques maisons dans les arbres, un restaurant, quelques bricoles à acheter. Et voilà !

Je conseille de ne pas trop de perdre de temps à visiter pour ceux qui y viendront plus tard ...

Entrée: 5000 kips pour le scoot et 2000 pour le pilote 


TAD Champee. Deuxième cascade. 

"L'avantage", pour accéder à cette chute d'eau, c'est qu'il faut prendre 10 kilomètres de pistes. 

Et donc là, plus de touristes THAI à gogo. Et comme l'environnement est sympa, la cascade pas mal, cet arrêt est à faire . En plus pour ceux qui veulent tenter la baignade, il y a de quoi faire.


 (ce sont des gamins "pécheurs" avec des masques de plongée qui trempaient dans l'eau quand je suis arrivé; avec de petits harpons faits maison, la tête sous l'eau...)



Entrée: 5000 kips (comme ce sera le tarif pour TOUTES les cascades, j'arrête là sur le prix de l'entrée) 

3ème arrêt : KATU, Homestay.

Ouaaaa. Quelle rencontre !!!
Mr VIANG est un petit Monsieur (oui même pour moi il n'est pas grand!) qui porte haut (humour !) ses convictions de la culture du café en BIO. 

En prenant du temps chez lui, il nous fait visiter ses quelques 5 hectares de culture. Explications sur les différents types d'arbres – production d'Arabica, de Robusta -, sa façon de les planter, de récolter, de trier , de sélectionner, de traiter les maladies et les insectes (notamment les fourmis rouges qui créent des "nids" dans les feuilles).

Un seul maître mot dans sa bouche : « QUALITY » (oui car en plus, il s'est donné les moyens d'apprendre l'anglais, pour accueillir les touristes).















Et l'échange continue autour de la dégustation de SON café (tout fait main : ceuillète et tri hyper sélectif, séchage, torréfaction, grains moulus – par sa fille -).

 Incroyable d'ailleurs comme résultat, puisque Sébastien arrive à boire pour la première fois de sa vie une tasse complète de café ! 

Il nous donne sa perception des touristes, nous fait part de ses projets pour étendre son accueil et sa volonté de venir voir la France... Et raconte en souriant la jalousie de ses voisins  (finalement c'est partout pareil: le genre humain - ou plutot sa connerie ! oups ! - est uniforme partout dans le monde: dès que quelqu'un s'interresse aux autres et fait un petit peu d'argent, alors ces congénères - par ignorance - le jalousent et croient que Monsieur est devenu riche grâce à l'argent des touristes "qui sont pétés de tune, comme tout le monde le sait")

Un grand moment d'échange sans arrière pensée !

J'ai franchement beaucoup, beaucoup, beaucoup hésité à reprendre la route. Ou rester pour passer la soirée et la nuit (possibilité de faire un homestay!). Sébastien aussi !

Futurs touristes: passez voir ce Monsieur!!! Même juste pour boire un café ! Et laissez vous tenter par une nuit dans ce village, vous pourriez être invité à un mariage (c'est ce qui est arrivé à un couple de français que j'ai rencontré à PAKSE)

Tad Lo

Finalement, après tous ces échanges à KATU Homestay, l'arrivée à Tad Lo est tardive. En plus, les quelques Guest que l'on voulait prendre sont FULL. 
Bref, comme le ventre est vide, direction MAMA PAP GH, et son « dortoir ». Une nouvelle expérience ! 

Dormir chez l'habitant - … pardon ! Chez MAMA PAP ! -  (sa « chambre » est en face de nos matelats à même le sol) , c'est à faire !(bon une fois, parce que je crois avoir passé l'âge de ce type d'ambiance).

L'avantage de ce choix est double : à 15 000 Kips la nuit (1,5 euros, je préfère le rappeler!) c'est pas la mort du porte monnaie. Et en plus, ben la cuisine de MAMA a une réputation mondiale. Surtout son super méga PANCAKE à la banane (jamais réussi à le finir, moi!) .

Et en plus, cette petite dame est un vrai personnage. Elle ne parle pas beaucoup anglais, mais son sourire et sa gentillesse remplace les mots.
Et comme sa réputation n'est plus à faire, autour de sa table les rencontres sont faciles et agréables. 

D'ailleurs au petit déjeuner, nous faisons connaissance avec Christophe. Qui nous parle de son association SABAIDEE BONJOUR. Allez liké son site facebook !!!! 

En 2 mots : Christophe est venu en vacance il y a pas mal de temps à PADLO (une dizaine d'année de tête). Il a rencontré un couple de LAOS qui avaient reccueilli 2 filles... de fil en aiguille et d'allers en retours, Christophe est devenu leurs papas. 

Et il s'implique maintenant à améliorer la vie des habitants de PADLO (et surtout tout ce qui gravite autour de la scolarité des enfants) par le biais de son association. 

Belle rencontre et beeaux échanges à nouveau !

Que faire - que voir à Tad Lo?

à  Tad Lo , il est possible de voir quelques cascades. Notamment TAD HONG, dont l'originalité vient du fait qu'elle est devenu désuette, après la contruction du barrage en amont. 


Mais parcourir le lit de sa rivière avec les gamin(e)s du village est une bonne expérience. 

Et c'est beau cette petite balade dans l'ancien lit de la rivière, au milieu de la verdure !


Et aussi (ô miracle, enfin!) : Mes premiers éléphants ! (pour rappel, le LAOS c'était le pays du Million d'éléphants. Et je n'en ai vu aucun pour le moment... même en cherchant un peu ! ). 
Bon c'est vraiment le truc à touriste que j'ai vu (3 pauvres éléphants attachés à une chaine quand ils ne portent pas de touristes sur leur dos.) 

Mais bon j'ai juste pris 3 photos. 
Promis! 


Autre logement à Tad Lo
Finalement, après notre petit tour de scooter autour de TADLO, on va tenter une deuxième nuit. 

Dans un bungalow à coté de la cascade (60 000 kips la nuit, avec eau chaude en théorie ... parce que en pratique, elle ne marche plus la chaudière à eau chaude!). 
Pour profiter de la vie, du calme, et ne pas toujours être toujours sur la route. Détente au programme (et malheureusement, visite des toilettes plusieurs fois dans la nuit... tu vois un peu de quoi je veux parler... c'est ça la vie en terre étrangère. Le bidon ne suit pas toujours!).

Bon j'ai quand même eu droit à ma première crevaison de scooter. Mais, vu le nombre de motos en circulation, il est facile de trouver un réparateur. Encore un bon moment de rigolade avec des Laos ne parlant pas un mot d'anglais ...

Tadlo ?
Ce village n'a rien d'extraordinaire. Loin s'en faut d'ailleurs. Et pourtant, comme tant de personnes avant nous, nous avons kiffé pour cette quiétude et ce bien être qui s'en dégage. Et je n'ai ni fumé, ni trop bu (pour les mauvaises langues qui pourraient interprétées mes propos...).  Mais ce côté love and peace sans prétention, ça le fait !


2. Deuxième étape: TADLO-SEKONG (80 kms environ)

C'est la veille de Noel (le 24 décembre donc). 

Village Kokphoungtai

J'accompagne Sébastien jusqu'à ce village, pour rencontrer Mr HOOK (rien à voir avec Peter Pan, c'est son nom , c'est tout !). Dans un village animiste! 

Qui nous parle des bons et des mauvais esprits, du mariage polygamme, des sacrifices sur la place du village, de la culture du café, de la façon d'enterrer les morts - avec cerceuils pour les morts naturelles et donc pour les bons esprits -, de la fumette de tabac dès 3 ans, etc, etc, etc ... 

Finalement c'est décidé: Sébastien passera le réveillon dans ce village (et moi ailleurs!)


Nous reprenons la route. Pas pour longtemps car nous apercevons une pancarte WATERFALL! Allez zou, 5 ... puis 10 ... puis 15 kms de piste bien rouge, bien défoncée, bien paumée. Pour finalement ne jamais trouver cette cascade (à un moment donné, nous avons même laissé les scooters sur le chemin pour partir dans la forêt, en suivant un sentier indiqué par un souriant paysan... mais sans guide, impossible de trouver le bon chemin!). Tant pis, on aura essayé de sortir des sentiers battus!

Ensuite, un petit tour au Simouk Garden; pour déguster un très bon café. Et visiter ce beau parc fleuri, au milieu de la plantation de café de son propriétaire. Mais quel constrate entre ce Laos "de riche" et le Laos de village vu avec Mr HOOK. 
C'est ça toute la richesse de ce pays ! à voir et à revoir !

Je prends ensuite la route pour SEKONG (environ 60 kms de route correcte). Seul puisque Sébastien retourne dans le village visité ce matin. 



SEKONG


SEKONG est une ville sans charme, qui ne sert (en tout cas pour moi) que d'étape relais. Je m'offre un hotel à 150 000 kips (15 euros! le grand luxge ?) - Parce que c'est Noel quand même; ça reste un peu basique je l'avoue...  mais le petit déjeuner est inclus dans le prix de la chambre. 

Cette ville est sans âme (en tout cas avec mon arrivée à la tombée de la nuit vers 17H30, il n'y a pas grand chose à voir). Et tout est complétement fermé à 20H, quand je me décide d'aller manger. Donc il faut retourner à l'hotel, pour manger un bol de riz et boire un coca (pour bien purger la fin de la tourista de la veille... sympa le repas de Noel! ). 

Et faire connaissance avec un des convives de la table d'à côté, qui n'a pas sucé que du glaçon... et qui veut absolument parler "nclish, bicoz ail nid to practiz nklish...."

Allez Joyeux Noel !


3. Troisième étape: SEKONG - PAKSONG (100 kms environ)

Je repars vers 9H30 en direction du Sud de la boucle. Et, au bout de quelques kilomètres, je vois arriver un casque bleu dans mon retroviseur. Incroyable, c'est Sébastien ! 

Après une trentaine de kilomètres, on attaque la vraie partie de plaisir de la boucle. Une nouvelle route est en cours de construction sur l'ancienne piste. Donc entre les tronçons en gravillons, les bourbiers de terre détrempée où des camions sont plantés, des engins de construction en circulation et des camions qui déboulent à fond en soulevant de la poussière, il est difficile d'éviter tous les pièges de la route.

Mais ensuite, sur de la piste rouge, tout change! on se croirait un peu au Paris Dakar; seuls au monde sur nos 100 cm3, en plein milieu des cultures de Café, des petits villages et du no man's land; à rechercher nos cascades. 

Tout d'abord Tad Kalamtok. Mais surtout Tad Saulin (ma préféré de toute la boucle), avec son homestay et ses petites fleurs roses. 

M.A.G.N.I.F.I.Q.U.E !















On s'offre un petit moment de repos à la homestay de Monsieur SAULIN (qui a renommé la cascade à son nom !), en mangeant un petit encas préparé sur place.

La suite du voyage ne sera que des kilomètres sur la fin de cette piste magnfique, puis sur la route menant à PAKSONG. 

Où nous nous séparons définitivement avec Sébastien, après ces quelques jours de "motards endurcis".


PAKSONG


Encore une ville dortoir pour moi. 

Sauf que là, la ville se trouve à 1300 mètres d'altitude. Et donc, le soir venu, c'est le congél! Heureusement que j'ai eu la bonne idée de prendre un sac de couchage pour ce voyage. Mais où est le vin chaud ? En tout cas, il ne doit pas faire beaucoup de degrés au dessus de 0°c... 

Je loge à SAVANA GH, pour 80 000 kips. Un peu cher pour ce que c'est, mais au moins il ya de l'eau chaude pour une longue, longue, longue douche réchauffante ! Un petit diner dans le bui bui d'en face et hop dans le sac de couchage pour éviter de congeler sur place (oui j'exagère je sais !)

à Paksong, il faut aller voir soit Mr Coffee; soit JHAI Coffee. Deux producteurs de café haut de gamme. C'est intéressant de parler de leurs perceptions du café LAO, en dégustant celui-ci (moi j'ai fait JHAI, mais j'ai rencontré des personnes enchantées par Mr Coffee).


4. Dernière étape: PAKSON - PAKSE (50 kms)



En repartant de bon matin - enfin après le café et l'échange chez JHAI -, je me suis arrêté à Tad Yuang et Tad Fan. La première est notée comme la meilleure par Miss Noy. La deuxième est au milieu d'un resort assez chic. Toutes les deux remplies de touriste THAI.
J'ai pas trop aimé. Peut être une saturation des visites de Cascades aussi. Je conseillerais de ne pas faire Tad Fan en tout cas. Certes gigantesque. Mais trop éloigné du point de vue.

Bon allez, ce sera retour à la "maison" à Paksé. Où je vais prendre une chambre à 60 000 kips à Sédone River GH. 




Mon opinion sur le Plateau de Bolovens

Finalement je suis un peu déçu par cette boucle. 

Heureusement que j'ai fait de belles rencontres. 

Et que l'on peut encore pour quelques temps faire la piste du Sud Est. 


Sinon, j'aurais tendance à dire qu'il n'est pas nécessaire d'y passer trop de temps. Certes les cascades sont belles. Mais les paysages (à part le haut du plateau, perdu dans la steppe et au milieu des caféiers) ne sont vraiment pas terribles.  Mais c'est aussi une facette du Laos.



Alain

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2 commentaires :

  1. La tourista est le trouble sanitaire le plus fréquent chez les voyageurs,la diarrhée, définie par la survenue de plus de 3 selles non moulées par jour, est le plus souvent hydrique sécrétoire due à une infection par un germe entéro-toxinogène, plus rarement sanglante et fébrile liée à des infections par des germes entéro-invasifs ou à l'amibiase.
    C'est une maladie généralement bénigne et d'évolution favorable même sans traitement mais des complications sérieuses peuvent apparaitre chez les enfants, LES PERSONNES ÂGÉES ou fragiles.Selon les pays, la diarrhée du voyageur porte différents noms: course du touriste,danse aztèque,gallop grec,course de Rangoon, revanche de Montezuma, complainte de l’été...J'en passe et des meilleures.Cependant,l'usage intensif du scooter permet de régler le problème,certes de façon provisoire,mais néanmoins efficace...

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    1. Heureusement que tu ne peux pas poster de photos pour étayer tes propos !!!

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